Guest post : Chloé s’est sevrée de Diane 35 avec succès
Il y a 4 ans, Chloé m’a contactée suite aux articles que j’avais publiés documentant mon arrêt progressif de Jasminelle en 2012. Elle avait interrompu sa prise de Diane 35 brutalement suite aux scandales qui avaient éclaté l’année précédente. 6 mois après son arrêt de pilule, elle souffrait toujours d’acné et voyant que rien n’y faisait – acuponcture, huiles essentielles, etc., elle commençait à se sentir un peu démoralisée. En lisant mon histoire et en effectuant davantage de recherches au sujet de la dépendance hormonale liée à la prise longue de la pilule contraceptive – en particulier Diane 35 dont le progestatif synthétique (la cyprotérone) est particulièrement « addictive », elle a pris la decision difficile de reprendre Diane 35 pour ensuite s’en sevrer avec succès.
S’en est suivi un chouette échange sur plusieurs années durant lesquelles nous avons élargi le débat aux thématiques écologiques ainsi qu’à la problématique « féminisme – contraception synthétique ». En parallèle à cet échange, Chloé, qui travaille dans le milieu du cinéma, a entrepris la réalisation d’un documentaire sur la pilule contraceptive et ses dangers. Son histoire est fascinante et pleine d’espoir :
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« I stand
On the sacrifices
Of a million women before me
Thinking
What can I do
To make this mountain taller
So the woman after me
Can see farther »
Milk and Honey, Rupi Kaur (poète, écrivaine féministe canadienne)
J’ai arrêté la pilule pour la première fois l’été 2013, quelques mois après que les polémiques à propos de la Diane 35 aient éclatées dans les médias et qu’elle soit momentanément retirée du marché en France. Ces évènements m’avaient frappée parce qu’il s’agissait de la pilule que je prenais depuis plus de 10 ans et que je réalisais n’avoir aucune conscience du danger qu’elle représentait pour ma santé. En approfondissant le sujet, je découvrais également ses impacts négatifs sur l’environnement. Au plus je me documentais, au plus j’allais au-devant de mauvaises surprises. Très vite, la décision de ne plus prendre la pilule fut évidente.
Juillet 2013: 1er arrêt de la pilule
J’ai cessé de prendre la pilule du jour au lendemain parce que je ne m’attendais pas à rencontrer le moindre problème et que je n’avais jamais entendu parler de l’arrêt progressif. Après 2-3 mois, mes règles sont revenues et l’acné a fait son apparition. Très vite, j’en suis venue à la conclusion que c’était lié à l’arrêt de ma pilule et que mon corps, qui avait été pendant si longtemps nourri aux hormones synthétiques, en était devenu dépendant. J’ai passé des heures à fouiller sur Internet pour tenter de comprendre et trouver des solutions. J’ai testé un tas de choses : acuponcture, huiles essentielles, compléments alimentaires. Rien n’y a fait ! Les alternatives « douces » ne sont efficaces que sur le long terme et j’étais devenue très impatiente. Découragée, je me suis rendue chez un dermatologue (malgré ma réticence envers les médecins suite à ce scandale concernant la pilule), qui a voulu me prescrire des antibiotiques et un médicament contre la tension. J’ai refusé. A quoi bon arrêter un médicament pour en reprendre un autre ?
Janvier 2014 : Après 6 mois d’arrêt de pilule (et tous les déboires qui y sont associés), je découvre le blog de Christelle
J’ai réalisé ne pas être la seule à vivre cette situation et j’ai découvert la méthode de sevrage. Après avoir lu plusieurs articles sur le blog, j’ai compris que l’arrêt de la pilule avait été trop brutal et que lorsque l’acné survenait, un an (voire plus) pouvait s’écouler avant de s’en débarrasser totalement. Je ne me sentais pas capable d’attendre si longtemps. J’ai donc décidé de reprendre la Diane 35 (qui n’a jamais été retirée du marché en Belgique) pour la réarrêter ensuite petit à petit.
A mon échelle, je souffrais mais parallèlement, je découvrais que beaucoup d’autres femmes souffraient de situations encore bien plus graves pour leur santé : AVC, problèmes de fertilité ou encore dépression. Je réalisais peu à peu l’étendue des dégâts !
Mai 2015 : 2ème arrêt complet de la pilule
Le processus de reprise de pilule et de l’arrêt progressif aura duré 1 an et 4 mois. J’ai d’abord attendu que la pilule fasse disparaitre les boutons, ensuite, je l’ai coupée (à l’aide d’un petit hachoir que vous pouvez vous procurer facilement en pharmacie) – 2 mois 3/4 , 2 mois 1/2 , 2 mois 1/4 – et enfin, je l’ai arrêté définitivement. J’ai entendu dire par la suite que le mieux était de prendre un cachet sur deux, puis un cachet sur trois, etc. Je vous conseillerais donc davantage cette méthode, même si je ne l’ai pas testée. Il faut savoir que vous n’êtes plus protégée pendant cette période de sevrage, donc utilisez un contraceptif adapté (le préservatif est l’idéal selon moi pendant cette phase transitoire car c’est sans hormones et même si vous êtes en couple et que votre partenaire peut être réticent, ça permet d’ouvrir un débat concernant la responsabilité de chacun au niveau de la contraception). Aussi, vos règles peuvent être chamboulées durant le sevrage et après l’arrêt définitif de la pilule, il est possible de devoir attendre plusieurs mois avant de les avoir à nouveau. Ça a été mon cas.
Pendant cette année et demi, j’ai pris des compléments alimentaires naturels (bien choisis car j’avais dans le passé dépensé beaucoup d’argent pour certains qui avaient été inefficaces) principalement pour soutenir mon foie car la pilule le fragilise beaucoup et j’ai changé radicalement d’hygiène de vie (alimentation, routine beauté, activité physique), j’y reviendrai un peu plus tard.
Mars 2016 : 10 mois après le 2ème arrêt de pilule
J’avais encore quelques problèmes de peau mais beaucoup moins que la première fois (lorsque j’avais arrêté la pilule du jour au lendemain). Mes lectures m’avaient permis de pouvoir décoder mon corps, et j’avais compris que l’endroit où se situait mon acné en disait long sur son origine (exemples : boutons sur le front = alimentation, boutons sur les mâchoires = hormones). Ce qui m’a permis d’agir de manière plus efficace. L’estroblok (complément alimentaire naturel que j’ai pris après le 2ème arrêt, en décembre 2015) m’a permis d’éradiquer mon acné hormonale au bout de 5-6 mois (je conseille de le prendre directement après l’arrêt de la pilule, c’est très efficace). L’Ergy Epur et l’Erg Desmodium (compléments naturels également) m’ont permis de me débarrasser des boutons sur le front (ils peuvent déjà être consommés pendant le sevrage pour soutenir le foie). Le seul bémol (encore aujourd’hui) est que j’ai écopé de tâches brunes au-dessus de la lèvre supérieure, le fameux mélasma (également dû à l’arrêt de la pilule). Si l’une d’entre vous a des conseils à me donner à ce niveau, je suis preneuse ! 😉
Juillet 2016 : je peux enfin dire que j’en ai terminé avec l’acné
Trois ans exactement après l’avoir arrêté pour la première fois.
Si je me suis permise de détailler autant mon expérience, c’est parce qu’à l’époque, quand j’ai voulu trouver des réponses, c’est ce genre d’article qui m’a aidé (par où commencer, quoi faire et ne pas faire, quels produits utiliser, etc ). Et si le partage de mon expérience peut aider l’une d’entre vous, j’en serais ravie. Je ne peux malheureusement pas joindre de photos de moi à cette époque pour que vous puissiez voir l’évolution de l’état de ma peau car j’ai pris le soin d’éviter les appareils photos ou d’effacer automatiquement les clichés qui avaient été pris.
“Within every woman,
There is a wild and natural force,
Filled with good instincts,
Passionate creativity,
And ageless knowing.
Her name is Wild Woman but she is…
An endangered species.”
Femmes qui courent avec les loups, Clarissa Pinkola Estés (conteuse et psychanalyste d’origine mexicaine)
Cette expérience aura été difficile à différents égards mais pendant ces trois années, j’ai beaucoup appris de manière générale, et surtout sur moi-même. En fait, c’est une prise de conscience globale et un mécanisme en chaîne qui s’opère car tout est intimement lié. C’est une remise en question de ce que vous consommez et de la manière dont vous le faites. Vous poussez la réflexion plus loin : prendre des précautions par rapport à ce que vous mangez au quotidien (d’où viennent les aliments, comment sont-ils produits, par qui ?), à ce que vous mettez sur votre peau jour après jour (quels sont leur composants, quels impacts ont-ils sur moi, l’environnement ?), les produits que vous manipulez pour votre ménage, etc.
Concrètement, ce qui a changé pour moi :
- Alimentation : j’ai diminué considérablement ma consommation de viande (et autres produits animaliers ou d’origines animales), j’ai éradiqué les produits laitiers, je favorise le bio, j’évite autant que je le peux le sucre (sous toutes ses formes) ainsi que le gluten et je suis attentive à boire beaucoup d’eau et à manger du vert en grande quantité.
- Routine beauté : j’ai éliminé tous mes anciens produits et les ai remplacés par des produits naturels (la plupart peuvent même se manger) qui s’avèrent être beaucoup moins chers : un petit gant micro-fibres (lavable et réutilisable pour me démaquiller), argile brune (en masque pour nettoyer), huile de jojoba/argan/nigelle dépendamment de l’état de ma peau (pour hydrater), hydrolat de rose ou de lavande (en finition car l’eau de ville est trop calcaire), miel (en masque pour des soins). Rien de plus simple et de plus efficace ! Je vous conseille les blog d’Emmanuelle (Beauté Pure) et de Tracy (The Love Vitamin) si vous cherchez des conseils plus précis (marques et autres).
- Produits ménagers : j’ai également changé mes produits d’entretien, j’utilise principalement du vinaigre et du bicarbonate pour nettoyer et je fais attention à la sélection de mes produits pour la lessive également.
- Activité physique : j’ai commencé le yoga depuis un peu plus d’un an maintenant. Au-delà des bénéfices pour le corps, la pratique l’est également pour l’esprit (forme de méditation). On a trop souvent tendance à sous-estimer l’action du stress sur l’état de notre peau (et le reste).
- Contraception naturelle : je me suis formée à la symptothermie qui est une méthode qui se base sur la température et sur l’analyse des glaires cervicales pour calculer sa période d’ovulation et savoir précisément quand il faut se protéger ou quand ça n’est pas nécessaire.
- Et enfin, cette phase de ma vie (et l’apprentissage qui y est sensiblement liée), m’a inspirée pour la réalisation d’un documentaire. Travaillant dans le milieu du cinéma, j’ai pensé qu’il pourrait être intéressant de profiter du petit réseau créé pendant ces quelques années pour me lancer dans la réalisation d’un film qui aurait pour sujet principal la contraception hormonale et ses dangers. Et c’est ici que vous entrez en jeu !
Le documentaire
Avec ce documentaire, je désire informer chaque femme en divulguant, à travers le témoignage de certaines d’entre elles, tout ce que les lobbys pharmaceutiques veulent cacher et ce sur quoi ils font régner le doute pour semer la confusion dans les esprits. Je ne souhaite pas mener une guerre contre ces lobbys, mon but est avant tout de partager l’expérience de ces femmes pour en éclairer d’autres.
Dans un premier temps, j’écouterai ces victimes de la pilule, pour mettre en lumière les problèmes qui y sont clairement associés : celles qui ont eu des AVC, des cancers, des migraines à répétition, baisse de libido, traversé des périodes de dépression. Celles qui ont pris du poids, eu de l’acné, ont rencontré des difficultés pour tomber enceinte depuis l’arrêt de leur pilule ou encore celles qui ont voulu discuter avec leur gynécologue de ces soucis et qui n’ont pas été écoutées car « ce n’est pas si grave » ou « non c’est une idée, ce que vous vivez n’est pas lié à la pilule ».
Quoi de plus parlant que le témoignage de toutes ces femmes dans lesquelles d’autres pourront se reconnaitre et grâce auxquelles elles comprendront qu’il y a une explication à ce qu’elles vivent ?
Dans un second temps, et toujours dans cette optique d’informer, je m’attarderai sur la sexualité et les alternatives existantes en terme de contraception car lorsqu’on a enfin pris conscience des dangers de la pilule, quelles autres options s’offrent à nous ? En existe-t-il ? Sont-elles fiables ? Oui, oui et oui ! Mais malheureusement, elles sont trop peu connues.
Il est temps que les langues se délient et j’aimerais vous donner la parole ! Si l’envie de témoigner vous intéresse, voici l’adresse email via laquelle vous pouvez me joindre : info@floweroflife-movie.com. Et si vous avez la moindre question par rapport à mon expérience de sevrage, je serais également ravie de vous répondre.
Force et courage à vous toutes !
Chloé
« Un jour la jeune fille sera là, la femme sera là, et leurs
noms ne voudront plus seulement dire opposition au
masculin, mais quelque chose pour soi, qui ne soit pas
pensé comme complément et frontière, mais fera penser
à la vie, à l’existence : l’être humain féminin. »
Lettres à un jeune poète, Rainer Maria Rilke (écrivain autrichien)
N’oubliez pas de suivre ce blog pour être informé(e) par mail lorsqu’un nouvel article paraît
hey,
Merci pour ce témoignage. Ca fait toujours du bien. De voir qu on est pas seule a traverser et ressentir les memes choses et aussi de voir les resultats positifs qu un changement de vie peut avoir. Je me reconnais parfois dans ce que tu ecris.
J’ai 25 ans et depuis environ 13 ans l’acne est mon pire cauchemar. Assez severe…Depuis mon debut d’adolescence… Essayer tous les traitements tous les antibio… Tout revenait puis on recommence, on change, on arrete, on reprend.
Depuis deux ans a nouveau une « super belle peau » comme les gens disent.. Oui mais sous pilule diane 35 + androcure…
Et pourtant tous les tests sanguins, d urine sont neagatifs, meme les tests neurologiques ou ORL.
Donc on ne peut rien faire pour mon probleme d acne si ce n’est de gros traitement medicamenteux…
Depuis une année environ je fais le lien entre mes maux de tete pendant la periode d’arret de la pilule et donc les cachets que j’ingère.. (meme si toujours ete sujette aux maux de tete.. puis la je me dis mais depuis mes 15 ans j’ai presque toujours pris la pilule? – contraception ou pb de peau- a nouveau un lien).
Depuis un an ou deux la question c etait : Je prefere avoir de l acne et etre mal moralement ou avoir mal a la tete et etre mal physiqument?? La reponse etait toute vue, je choisis le mal de tete, au moins pas de deprime…
Mais voila que ca ne devient plus possible, mal au crane (de facon constante et oppressante mais de grosses grosses migraines mais bon) avant les regles, pendant les regles, en gros la moitié du mois…
Janvier 2018, quelques jours avant mes regles, les maux de tete une fois de plus, qui m’oblige a rester au fond de mon lit alors que je n’ai pas sommeil..
Je decide, une fois de plus (car cela fait plusieurs annes que je me renseigne a droite a gauche puis la peur davoir de l acne, -assez severe quand je nai pas de traitement- m’envahissait..) de faire un tour sur google, pour me renseigner sur cette foutu pilule et les possibilités d arret. Je pousse cette fois mes recherches plus longuement car j’en ai marre, je veux m’en debarasser, meme si je ne suis pas certaine a 100% que cest elle qui me cause cela…
C’est comme ca que je tombe sur le blog de christelle. Cela m a aidé comprendre aussi certains liens et mecanismes, tant du corps et que les dit traitements. Et cela ma poussé a faire d’autres recherches ETC..
Et surtout a SAUTER LE PAS VERS L ARRET PROGRESSIF DE LA PILULE.
Depuis plus d un mois de grands changement s’opère en moi, de façon logique et complémentaire. Un besoin de revenir au source, d’etre moi, de décider de ce que je veux dans ma vie, dans mon quotidien, ma nourriture, mes produits, mon travail..Finalement MES ENVIES ET LA SANTE DE MON CORPS ET MON ESPRIT.
Un grand boum de prise de conscience ,(effet nefaste reel et compris surtout de la pilule et autres substances chimiques qu’on peut prendre, voie orale ou produit pour la peau) mais aussi lobbyng de toutes les industries et autres qui nous entourent, desastre ecologique…).
Je parle de prise de conscience et de changement mais je devrais dire une mise en action. Car se sont des valeurs et des idées que je partageais depuis un moment, mais cela restait au fond de ma tete…
Un changement selon moi, ne se fait pas en y pensant mais agissant. Cest en cela que j’ai décider de changer. AGIR;
Surtout quand on se rend compte qu on peut se faire du bien soit meme en changeant nos habitudes de vie 🙂
Donc maintenant j’agis pour moi en tant que personne mais aussi humaine et pour ma planete, en fonction de ce que je crois et ce qui est en mon pouvoir de faire!
Aussi, je suis partie au canada, a Montreal, depuis 4 mois pour y travailler et avoir une experience de vie.
La surconsommation américaine a tout bout de champ m’a aussi fait un retour de baton dans la figure, apres y avoir participer en arrivant… STOP.
Et le changement du à la distance de ses proches, de ses repères et la concentration sur soit opere :). Ainsi d’avoir beaucoup de temps pour moi m’apprends vraiment a savoir ce que je veux et ne veut pas et oser aller au bout de mes idées. Ici, pour moi les changements (du moins de point de vue et habitudes alimentaires par exemple ) se font rapidement car la seule a laquelle je pense ici ( pour une fois), c’est moi. Je pense, je teste, j’essaye…
Comme toi, j’ai essayé le Yoga, et me suis rendu compte que cela me plaisait alors qu’il y a encore plusieurs mois j’etais septique.
Donc effectivement quand tu parle du corps et de l’esprit, et surtout l’esprit qui joue un role plus important que ce l’on peut parfois croire, je suis bien d’accord!
Il me reste deux mois avant de rentrer en France, où je compte poursuivre une vie comme je l’entends ici et maintenant :).
Depuis deux mois, je suis dans un tourbillon de questionnements et d’actions pour une nouvelle vie pleine d espoir et d actions positives pour moi, mon entourage et pour ce monde.
Donc merci reellement aux personnes comme vous, vos expériences enrichissent les notres et poussent a agir et se détacher de ce qu’on a l impression de savoir ( ou plutot ce que l on veut bien nous dire ou nous transmettre, notamment le corps medical et pharmaceutique , meme si jai beaucoup de respect pour eux).
J’ai même été émue, de lire ton article chloé comme je le fus pour celui de Christelle.
Felicitations pour ce projet.
Si mon commentaire peut te servir ca sera avec plaisir (meme si je commence a peine l’aventure du sevrage de la pilule) .
N hesite pas me contacter, Mon adresse mail est : sophie.salamon@hotmail.com
PS : Coïncidence pour les taches brunes. Hier je faisais un » masque » naturel que l’on m’a conseillé. Moi j’ai eu ca l’été ou le printemps dernier, a cause du soleil je crois.. Bref, le melange a mettre sur les taches est : pomme de terre cuite écrasée, mélangée a un demi citron préssé. Mais j’ai aussi lu qu’on pouvait mettre de l’oignon ou autre ingredient. Je l’ai fait hier pour la premiere fois donc pas de recule, a voir. Je le refait ce soir avec le reste. puis il faudrait le faire sur plusieurs semaines..
Bonne continuation a toi
Bonjour Sophie !
Excuse le retard de ma réponse, je prends seulement connaissance de ton email qui me fait chaud au coeur. Comment s’est clôturée ton expérience canadienne ? Où en es-tu au niveau de ton sevrage et de l’acné ? Je serais très heureuse d’avoir de tes nouvelles et de savoir comment ça évolue de ton côté.
Si tu as la moindre question, je reste joignable via cette adresse email : info@floweroflife-movie.com
Très belle soirée
Chloé
Bonjour !
J’ai pris Diane 35 pendant une dizaine d’années et je suis sur le point d’arrêter. J’ai préparé un programme de sevrage progressif sur 8 mois et acheté Daysy pour passer à la symptothermie (donc thermomètre avec application qui nous dit quand on peut avoir des rapports non-protégés).
Je me demandais si la méthode de prise de température pouvait déjà être utilisée pendant le sevrage ou si le fait d’avoir quand même un apport d’hormones pouvait fausser les données et qu’il me faudrait donc plutôt attendre la fin du sevrage ?
Merci d’avance !
Bonjour Ella !
Merci pour ton message.
Pendant ton sevrage progressif, tu ne peux pas appliquer la méthode symptothermique, il sera donc important, si tu as des rapports sexuels pendant ce sevrage, de te protéger avec un préservatif. Tu vas devoir attendre de terminer complètement ton sevrage et de retrouver un cycle (il ne doit pas pour autant être régulier – si ton cycle se situe entre 23 et 35 jours tu peux pratiquer la méthode – mais tu dois avoir à nouveau tes règles, ce qui n’est pas forcément le cas à la fin du sevrage car le corps est un peu déboussolé) pour pouvoir commencer cette méthode.
C’est très bien que tu aies pu acheter ton matériel (thermomètre et application). Je ne connais pas Daysy, j’utilise personnellement Symptotherm (https://sympto.org/home-main_fr.html), qui est une des meilleures et que je te recommande. Attention, le fait d’être équipée ne te dispenses pas de suivre une formation au préalable. J’ai moi-même suivi 3 cours d’1h30 (sur 3 mois car un cours à la fin de chaque cycle) avec une formatrice. Je vis en Belgique donc ça ne te sera pas utile que je te donne son contact mais voici des contacts pour la France (qui sont renseignés sur le site de Beauté Pure – un site que je te recommande aussi pour des conseils concernant l’acné) :
– Cler amour et Famille
http:// http://www.methodesnaturelles. fr
01 48 74 87 60
-Mamayaya , association
http:// http://www.mamayaya.org
06 20 34 54 99
asso@mama yaya.org
-Milène Clichy (auteur du livre Vivre sa fertilité naturellement) et Stéphan Techer
http:// http://www.fertiliteconsciente.fr
07 82 57 68 41
milene.c@fdd -ce.fr
Si tu as la moindre question, je reste à disposition, voici mon mail : info@floweroflife-movie.com
Très belle soirée,
Chloé
Coucou Ella, et bienvenue! 🙂 Vu à quel point je te réponds tardivement (excuse ma nullité… j’étais en vadrouille pendant 2 mois et j’ai eu du mal à entretenir le site) je me doute que tu as déjà obtenu une réponse à ta question, mais au cas où tu chercherais toujours à savoir, je dirais qu’il vaudrait mieux éviter de se fier à la méthode sympto-thermique en cours de sevrage. Je crains que la prise d’hormones, même à faible dose, ne fausse les données. À ta place j’attendrais la fin du sevrage. Courage et tiens-moi au courant!
Bonjour Christelle (et Chloé),
Je rencontre le même cas de figure que vous deux. De ce fait, je vais entamer ce processus de sevrage de la Diane sur 6 mois !
J’ai cependant une petite question : cela est possible de seccer les comprimés a l’avance pour un souci de pratique ?
Merci beaucoup !
Coucou Marine,
Alors perso je ne vois pas pourquoi cela ne serait pas possible, mais bon, je tiens à rappeler que l’ensemble du processus de sevrage est peu orthodoxe d’un point de vue médical. Je ne suis donc pas à même de pouvoir te conseiller, bien sûr. Ceci dit, à priori je n’y vois pas d’inconvénient, à part l’humidité peut-être. À ta place j’essayerais de trouver un endroit sec et sombre pour conserver tes comprimés coupés. Je t’envoie plein de courage ! Tiens-nous au courant de l’évolution de la situation ! ❤
Merci. Comment votre histoire se developpe-t-elle maintenant?